Les perturbations qu’entraîne la COVID-19 sur les services de santé sexuels et reproductifs, aussi modestes soient-elles, pourraient entraîner un besoin non satisfait de contraception moderne pour 49 millions de femmes supplémentaires et mener à 15 millions de grossesses non désirées, 28 000 décès maternels et 3,3 millions d’avortements non médicalisés dans 132 pays à revenu faible ou intermédiaire (PRFI).30
Read MoreÀ l’échelle mondiale, une augmentation de 20 % des cas de violence conjugale (soit 15 millions de cas supplémentaires) aura lieu pour chaque trimestre au cours duquel des restrictions de déplacement et des ordonnances de confinement seront maintenues.31
Read MoreEn 2020, près de 510 millions de femmes, soit 40 % de l’emploi féminin, travaillaient dans des secteurs que la pandémie de COVID-19 risque de toucher plus sévèrement.32
Read MoreLa pandémie risque de faire perdre plusieurs années de progrès réalisés en faveur de l’éducation des filles. Au niveau mondial, près de 743 millions de filles sont déscolarisées. Les fermeture d’écoles peuvent renforcer les inégalités de genre, particulièrement pour les filles et adolescentes les plus pauvres, qui courent un risque accru de mariage précoce et forcé et de grossesse non désirée en situation d’urgence.33
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